Protection juridique des athlètes: Semenya n’est que partiellement juste devant la Cour de justice



Strasbourg – Le double champion olympique de 800 mètres Caster Semenya n’a pas complètement prévalu dans le marathon juridique contre les réglementations de testostérone de la World Athletics Association à la Cour européenne des droits de l’homme (CECH). Les juges de Strasbourg ont constaté que la Sud-Africaine avait été violée par la Suisse dans son droit humain à une procédure équitable. La Cour a fait appel à ses 80 000 euros pour frais et dépenses.

Cependant, le tribunal a laissé les règles de testostérone controversées intactes. La grande chambre a découvert lorsque le verdict a été noté qu’il n’y avait pas de relation territoriale entre la Suisse et le Semenya sur cette question parce que le différend sur une réglementation internationale de la World Athletics Association tournait.

Plaintes infructueuses en Suisse

La championne du monde à trois temps avait résisté aux provisions de l’athlétisme du monde, selon lequel elle a dû effectuer un traitement hormonal pour réduire son niveau naturel de testostérone pour participer à des compétitions internationales. En outre, la femme de 34 ans, qui a mis fin à sa carrière, a poursuivi en vain la Cour internationale du Sports CAS à Lausanne en Suisse et la Cour suprême fédérale suisse.

Semenya a souligné à plusieurs reprises qu’elle était une femme. Selon son autobiographie, elle n’a ni utérus ni tube de Fallope. Après les championnats du monde 2009 à Berlin, elle avait dû subir un test de genre. Elle était présente lorsque le jugement a été annoncé.


Le premier jugement était un peu différent

Cette fois, le tribunal a été pris une décision différente de celle dans l’instance précédente en 2023. À cette époque, la CEDH avait jugé que Semenya avait été victime de discrimination par les règles de l’association. Cependant, seuls quatre des sept juges avaient accepté. En raison de la majorité étroite, le gouvernement fédéral suisse avait demandé une nouvelle négociation devant la grande chambre de 17 membres. Votre jugement est maintenant définitif. La CEDH a maintenant décidé que les droits de Semenya n’avaient pas été soigneusement vérifiés en Suisse.



Par défaut de la cour fédérale suisse

Le contexte est que les athlètes ne peuvent agir que dans une mesure limitée contre les jugements de la CAS. La Cour suprême fédérale suisse ne vérifie que s’il y avait des erreurs de procédure devant le tribunal de sport. Selon la Cour des droits de l’homme, cette spécialité exige « un examen judiciaire strict qui convient à la gravité des droits personnels concernés ». Le tribunal suisse dans l’affaire de Semenya aurait échoué. Lorsqu’il a annoncé, il y avait un déséquilibre structurel entre les athlètes et les organisations pour lesquelles les disciplines étaient soumises à la compétence dans le sport.